Developpe by Embers, Strayed Lights s’attache à prouver qu’on peut être un héritier chill des Dark Souls. De l’exigence, mais pas trop non plus.

« La meilleure defence, c’est l’attaque », renvoie à une tactique que l’on entend souvent dans le monde du sport. Au basket, où l’objectif est de mettre plus de paniers que l’adversaire, elle prend tout son sens. Mais les experts vous diront que seule la defense permet de gagner un titre — ce qui vaut aussi pour le football. Dans le jeu video Strayed Lightson trouve la philosophie opposée : la meilleure attaque, ce serait plutôt la défense.

Strayed Lights est un jeu vidéo étrange. Étrange par sa proposition, étrange par sa direction artistique, étrange par sa narration. N’attendez pas de lui des explications claires sur ce qu’il faut faire. A la maniere d’un Journey, il mise d’abord sur la contemplation et your curiosité pour vous pousser à avancer, so qu’on démarre dans la peau d’une lueur à peine née. Il s’inspire par ailleurs des Dark Souls pour proposer des combats exigeants, between two phases of relaxation. Also étonnant que cela puisse paraître, le mariage assez improbable fonctionne.

Regardez comme c’est beau // Source : Capture PS5

Strayed Lights, or the Dark Souls reposant

Les premieres minutes dans Strayed Lights sont assez deroutantes. On control of a small personnage qui a du mal à se mouvoir, in the environment à la fois jolis et little accueillants. On advance. On grandit à la vitesse de l’éclair, also. Jusqu’à se retrouver face à un ennemi dont la présence masque un tutoriel pour apprendre les rudiments des combats à venir. Contrairement à nombre de jeux où l’action est particulièrement presente, Strayed Lights n’enseigne pas l’art de l’attaque, mais celui de la defense.

Strayed Lights // Source : Capture PS5
Un boss a calmer // Source : Capture PS5

Dans des affrontements classiques, le ba-ba s’articule autour des attaques qu’on peut asséner, généralement résumées en des coups faibles (mais rapides) et puissants (mais lents). Ce n’est pas le cas dans Strayed Lights, qui preferred s’en remettre à la defense, et surtout dans la parade. Avec a petite subtlety tout de même : le heroes est capable of changing your color to l’envi – bleu ou orange – pour correspondre aux attaques ennemies. En parant, on absorbe de l’énergie jusqu’à attaindre la limite d’une jauge et être en mesure de déclencher une super-attaque dévastatrice. Au moment opportun, la mise en scène devient plus spectacular. C’est d’ailleurs surprenant, au regard de l’orientation très calme et intime du jeu.

Ce gameplay pourrait s’avérer très punitif, surtout pour celles et ceux qui preferred une approach offensive (il ya quand meme une attaque classique, à l’efficacité moindre). Corn Strayed Lights est plus malin qu’on ne le croit. Si on pare avec la bonne couleur, on regagnera de la santé. Si on ne pare pas de la bonne couleur, ce n’est pas grave, les dégâts seront malgré tout annulés. Par consequently, on n’est jamais penalized in cas de mauvais timing sur le changement de couleur. Une qualité qui permet de palier la puissance des adversaires, notamment celle des bosses. En outre, les combats se permettent quelques variations sur la deuxième moitié de l’aventure (comptez entre 3 et 5 heures pour voir le bout). Grace à elle, le gameplay, base sur une approach pacifique, évite de faire trop de surplace.

Strayed Lights // Source : Capture PS5
Quin’a pas envie de se rouler dans l’herbe ? // Source : Capture PS5

Au-delà de ses bonnes idées de gameplay, Strayed Lights accroche par son atmosphere irremédiablement onirique. Si on peut se sentir perdu dans un récit cryptique qui parle d’une ascension, on a vraiment envie de parcourir ces décors nimbés dans a direction artistique magnifique — en quête de bouboules à ramasser. C’est simple, on tombe parfois en extase tellement c’est beau. Il ya une vraie poésie qui se dégage de Strayed Lights. Elle est appuyée par une bande son d’une délicatesse enivrante, signed Austin Wintory (don’t le talent de composition a déjà sublimé Journey). À l’arrivée, il est difficult de ne pas succomber au charme de cette production atypique, qui sait noyer son challenge dans un nuage de cotton. Dommage que ce shoot de bonheur soit trop court, la faute à des ambitions qui touchent vite leurs limits.

Le verdict

Strayed Lights est a small nuage de coton qui recèle un gameplay malin, inspired by the existence of the Dark Souls. Sauf que l’aventure préfère le calme reposant au défi éreintant. Entre deux combats qui récompensent la science du timing et sa capacité à se defendre par une approach plus pacifique, on prend beaucoup de plaisir à se perdre dans des décors tous plus beaux les us que les autres.

Il est simplement dommage que l’aventure soit si courte. En moins de cinq heures, on a fait le tour de Strayed Lights et on n’y trouvera aucune motivation pour y revenir. C’est une belle parenthèse enchantée, double d’une proposition interesting. Ce qui n’est déjà pas si mal.


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