The open source de retour en grace chez OpenAI, la société derrière GPT-4 et ChatGPT ? L’entreprise est attendue sur ce terrain avec l’ouverture d’un de ses modèles de langage les plus récents. Un revirement qui serait justement lié à la pression du secteur de l’open source.
Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, at-on coutume de dire. La société américaine OpenAI, désormais mondiallement connue grace à son célèbre chatbot ChatGPT, est peut-être en train d’operer un (timide) revirement sur l’open source. Dans son edition du 15 may, le site the information évoque un gesture à venir de la part de l’entreprise sur ce terrain.
Plus exactement, OpenAI prévoit la publication en open source d’un de ses modèles de langage. Les models de language sont le socle technique sur lequel reposent les agents conversationnels comme ChatGPT. C’est le “moteur” qui fait tourner le chatbot, en lui indiquant comment fonctionner et comment répondre aux requêtes des internautes.
OpenAI a constructed plusieurs models de langage au fil du temps. Il ya eu GPT-1 en 2018, suivi de GPT-2 en 2019, GPT-3 en 2020 et GPT-4 en 2023. At the moment you launch de ChatGPT, the plateforme functionnait avec a version refined de GPT-3, appelée GPT -3.5. Depuis l’announcement de GPT-4 en mars, OpenAI a adapted ChatGPT pour offer des réponses de meilleure qualité.
Historiquement, OpenAI était attachée au principe de l’open source en publiant un maximum de ses travaux à travers des licenses permissives. C’était notamment le cas des models de langage GPT-1 et GPT-2. À partir de GPT-3, toutefois, il ya eu a tournant philosophique dans l’approche de la société quant à ses avancées. Depuis lors, l’open source n’a plus cours.
It is impossible to think that the model of the language that is above the GPT-4. C’est le model le plus récent et le plus stratégique d’OpenAI, et peut-être aussi le plus sensitive. It is also on a plateforme qui a des enjeux commerciaux, via le partenariat noué avec Microsoft (qui l’intègre dans Bing) et la payante form ChatGPT Plusat 20 dollars per month.
C’est vraisemblablement du côté de GPT-3 or de GPT-3.5 que cette ouverture se fera, qui sont des modèles de langage désormais relativement datés — plus de trois ans pour le premier, mais un an pour le second. GPT-2, le dernier grand modèle d’OpenAI à être entièrement accessible, a fêté ses quatre ans en début d’année.
Ce pas en direction de l’open source va-t-il en appeler d’others ? Cela reste a voir. En mars, Ilya Sutskever, l’un des cofondateurs d’OpenAI et le scientifique en chef du project, a justifié les raisons pour lesquelles sa société s’est éloignée de l’ouverture qui la caractérisait à ses debuts. Aujourd’hui, GPT-4 n’est usable that has a mode d’accès control, via an API fournie par OpenAI.
The pression de l’open source va-t-elle obliger tout le secteur à s’y mettre ?
Cette ouverture peut être le signe que le secteur de l’open source commence à être au niveau des solutions propriétaires, ce que note The information : les modèles libres et gratuits sont désormais assez proches, en termes de performances, des solutions fermées proposed by Google or OpenAI. Des lors, les maintenir opaques a de moins en moins de sens.
L’ouverture attendue chez OpenAI, sous la pression du développement de l’open source, pourrait also se répercuter chez les autres géants de la tech, de Google à Facebook, qui travaillent, eux also, sur leurs propres modèles. La pression risque de monter d’autant plus vite que l’avance des solutions propriétaires sur l’open source ne serait pas si importante que cela.
C’est ce que suggest un documentintern chez Google qui a fuité et dont le site SemiAnalysis se fait l’écho debut mai. Lorsque les performances seront équivalentes ou même supérieures, les developers de logiciels vont certainement préférer se tourner ces solutions, pour des raisons de coût, mais also de commodité et d’efficacité.
« Si nos models conservent un léger avantage en termes de qualité, l’écart se réduit étonnamment vite. Les models à code source ouvert sont plus rapides, plus personnalisables, plus privés et plus performants », lit-on dans la note. Et d’ajouter que « la vérité desagréable est que nous ne sommes pas en position de gagner cette course aux armements, pas plus que l’OpenAI. »
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