(Chronique France Culture) Dans cet épisode du Meilleur des Mondes, l’emission partenaire de Numerama, François Saltiel et ses invites parlent de Yuka et d’OpenFoodFacts : mais que peuvent ces apps face à l’industrie agro-alimentaire ? Dans notre chronique, on a profit pour se projecter dans des future spacial, or la nourriture sera encore un enjeu.
Beaucoup de scenes sont marquantes dans Seal sur Mars, the film with Matt Damon. Mais, ma préférée, c’est celle des patates : the sequence où l’on voit notre heroes en train de cultiver des pommes de Terre, dans une serre, sur Mars. Car quand on pense au futur, on oublie souvent ce genre de besoins basiques du quotidien.
Aboard the ISS
On board the ISS — the station spatiale Internationale, the astronauts mangent the essential element of the lyophilized plates, donc deshydratés puis, quand the faut les manger, réhydratés par de l’eau chaude ou une cuisson.
Il faut faire très attention à bord de l’ISS, où toute nourriture n’est pas possible. Par example, les miettes, en apesanteur, peuvent être dangereuses, donc la baguette tradition : c’est non. Heureusement, comme l’ISS est proche de la Terre, des navettes apportent regulation des plats, parfois des fruits et légumes frais. Mais un problem se pose pour des missions plus lointaines. Sur la Lune, pire encore sur Mars, ce ne sera pas possible d’apporter de nouveaux plats et aliments.
Ciboulette and poivron aboard des vaisseaux et sur Mars
L’avenir de la nourriture spatiale se prepare… en Antarctica. Il ya un project qui s’appelle EDEN EATS. Cette infrastructure experimental vise à developer des technologies d’agriculture en milieu controlled et confiné. L’objectif: permettre de produire des aliments directement à bord de l’ISS, des future vehicles d’exploration ou sur des avant-postes planétaires.
Cela prend la forme d’une serre, qui fait la taille d’un conteneur. On peut y faire pousser different types de légumes et même des fruits : concombres, poivrons rouges, laitues, blettes, roquette, fraises, tomates et ciboulette. Imaginez le festin martien !
It’s really a culture aeroponique: the plants aren’t there in the water, in the sun, it’s simple… hang up in the air. When it is necessary to use the technologies from pointe, as an éclairage LED très specifique pour replacer la lumière solaire. A project like EDEN ISS doit gérer de gros enjeux: par example, le poids de la serre est determinant — afin de réduire les charges utiles –, elle doit être le plus légère possible. De meme, il faut limiter le nombre de tâches : le project vise donc à automatiser la serre pour que personne n’ait jamais à arroser les plants. One type of “nutritive solution” is automatically projected to be from the Serre toutes in 10 minutes.
Mais, vous n’êtes pas prêt pour la dernière particularité d’EDEN ISS : le project est also de pouvoir extraire la cellulose des feuilles de légumes pour, à partir de cette matière première, imprimer en 3D des assiettes, couverts, du mobilier. Vivement que l’on puisse utiliser l’appli Yuka sur une table de chevet !
Pour ecouter le podcast
Pour cette émission, « Yuka, Open Food Facts : que peuvent les apps face à l’industrie agro-alimentaire ? », François Saltiel recevait :
- Marie-Eve Laporte, doctor in sciences de management
- Bastien Soutjis, sociologue
- Pierre Slamich, co-founder of the association Open Food Facts
À ecouter on the site of France Culture et sur toutes les plates d’écoute.
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