L’Ukraine s’est launched dans l’attaque par drone naval pour Couler des navires amarrés dans des ports occupés en Crimee. Les torpilles et navires téléguidés sont en plein development and des fleets “fantômes”, sans aucun pilote à bord, sont déjà déployées.
Bateaux sans pilote, missiles de plus en plus autonomous… Les drones navals attirent les officers lors du salon international de defense maritime à Singapore, ce 5 mai. Les délégations de nombreux pays asiatiques se succèdent, chacune imaginant comment elle pourra utiliser ces robots téléguidés en cas de conflit armé. Pour faire court, tout le monde est sous tension dans l’Est de l’Asie. Et, puisque la mer sépare tous les adversaires, la defense du territoire passe d’abord par une destruction des navires ennemis.
Singapore, considering the “Suisse de l’Asie”, profite de sa neutralité pour produire et proposer ses drones à tous les États environnants. Parmi les models developed par le champion local ST Engineering, on later citer le Mercury. C’est un drone couleur orange petard, qui sert “d’oeil sous-marin” aux forces armées pour détecter des mines, de potentiels dégâts sur des cables ou directement inspecter les ports adverses.
Les premieres attaques kamikazes sur mer
Ces engins qui viennent discrètement frapper les bateaux amarrés sont déjà une crainte pour les Russes. Pour qu’une arme évolue, elle doit être testée, et la mer Noire est le premier theater d’operation des drones navals aujourd’hui. En October 2022, le monde découvre des barques téléguidées et remplies d’explosifs qui charged les navires russes dans le port occupé de Sébastopol, en Crimée. Tous les appareils kamikazes n’ont pas touché leurs cibles, mais l’Ukraine continue à harceler les fregates et patrouilleur russes. Fin avril et le premier may dernier, plusieurs drones navals auraient encore attached le port de Sébastopol.
L’Ukraine espère d’ailleurs réunir une fleet de cent barques kamikazes. TToutes les caractéristiques de l’engin ont été dévoilées sur un site de dons. Son rayon d’action de 800 km ainsi que sa charge explosive de 200 kg en fait un object suffisamment dangereux, mais sa fabrication est encore onéreuse, autour de 250 000 dollars l’unité. Un autre drone, le Toloka, vient d’être developed par l’Ukraine également, plus discrete encore, puisqu’il serait sous-marin. Cette torpille rôdeuse aurait a rayon d’action between 400 and 1200 km from selon les versions.
The fleet “fantôme” of the États-Unis
Les États-Unis n’ont pas attendu une invasion russe pour lancer le drone naval. Washington a même sa première flotte de navire sans pilote, la Ghost Fleet Overlord, en français la fleet fantôme maitresse, actuellement composée de trois navires – bientôt quatre – longs d’une soixantaine de mètres.
Les first navires teleguidés ont été utilisés en phase de test pour des operations de control, notamment dans le canal du Panama et dans la peninsule arabique. Des drones Americains qui apportent du piment à a relation déjà tendue between l’Iran et les États-Unis.
Téhéran aurait me tenté de s’emparer d’un appareil téléguidé de reconnaissance – a model en forme de “planche à voile géante” – en août dernier, en le remorquant avec un navire des Gardiens de la révolution. La marine Americaine est parvenue a empêcher le rapt en dépêchant ses helicoptères. A video a d’ailleurs été postée pour révéler l’operation iranienne.
Ce “vol de drone” soulève des questions sur le deployment d’engins téléguidés de grande taille. Les manoeuvres peuvent être encore limits face à des navires controlled par des humains, bien plus flexibles. Plus compliqué en revenge de counter plusieurs torpilles intelligents, fonçant depuis plusieurs directions contre votre frégate.
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