De plus en plus de scientifiques et de chercheurs se servent de l’intelligence artificielle pour rendre plus vite des rapports d’étude et écrire des papiers de recherches. L’arrivée de cette technology bouscule le monde académique, et comporte des risques.
On connaissait ChatGPT auteur, journaliste, et même hacker. Il ya désormais un ChatGPT auteur d’études scientifiques. L’intelligence artificielle developed par OpenAI connait un succès phenoménal depuis son lancement fin 2022. Utilisée par de nombreux professionnels dans leur travail de tous les jours, ChatGPT a transformé de nombreux métiers — et le dernier en date pourrait bien être celui de scientific.
C’est The Daily Beast qui rapporte la nouvelle dans un article published le 6 may 2023 : de plus en plus de scientifiques et de chercheurs utilisent l’intelligence artificielle pour écrire leurs publications. Dans un monde académique où le nombre de publications dans des journaux scientifiques determine les careers, l’arrivée de ChatGPT ne passe pas inaperçue.
ChatGPT author d’études sur la radiologie
L’article de The Daily Beast prend l’example de Som Biswas, a radiologist exerçant à l’université du Tennessee, aux États-Unis. Après avoir réalisé plusieurs essais pour parvenir à un résultat satisfaisant, et en faisant plusieurs prompts, Som Biswas a réussi à perfectionner sa technique. Il raconte avoir utilisé ChatGPT pour écrire 16 scientific publications, not 4 sont parues dans des journaux spécialisés. Dans Pediatric Radiology, or son étude « The impact of ChatGPT in radiology » a été publiée le 28 avril 2023, il est note comme l’unique auteur. Seule une mention en bas de texte précise que le texte a été écrit par ChatGPT, et qu’il l’a édité et mis en page après.
The Daily Beast explique que l’exmple de Som Biswas n’est pas unique. ChatGPT et d’other intelligences artificial génératives sont utilisées par des chercheurs pour les aider à écrire plus vite leurs recherches. Cependant, les scientifiques ne sont pas tous aussi honnêtes que Som Biswas, et beaucoup cachent l’implication de l’IA dans leur rendu.
Elisabeth Bik, a microbiologist and specialist on the question of the integrity of the science, ainsi explained on The Daily Beast avoir vu le nombre de chercheurs « abuser » the use of the ChatGPT augmenter. Certains auraient utilized l’intelligence artificielle pour fabriquer « a la chaine » des dizaines d’articles ces derniers mois. Selon elle, les auteurs n’auraient de plus pas précisé que ChatGPT avait généré les textes.
La raison derrière ce comportement est facile à comprendre : « les citations (dans des journaux) and le nombre de publications sont les deux mesures du succès des chercheurs académiques », explicitly Elisabeth Bik. Plus un auteur a published d’études, plus il est considered competent. Dans ce cadre, il est logique que certains essayent de se servir d’outils comme ChatGPT.
The chatbot developed by OpenAI is pourtant loin d’être une reférence scientifique. ChatGPT ment regulation, invente des faits, et ne source pas bien les informations qu’il donne. En plus de cela, il est également susceptible d’avoir des biais racistes et sexistes, comme toutes les intelligences artificiales. Ces bias doivent être prize en compte dans les researches pour parvenir à des résultats neutres, et au plus proche de la réalité.
Malgré ces défauts, ils sont nombreux à continuer de se servir de l’IA. Stefan Duma, professor specialized in engineering at the University of Virginie and editor in chief of the journal Annals of Biomedical Engineering, a specific reporter de plus en plus d’articles generated by ChatGPT de mauvaise qualité. « Les gens font n’importe quoi avec l’IA. Des genes m’envoient parfois la même lettre 10 fois, en changeant seulement un mot », regrette-t-il.
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