News culture Gardiens de la Galaxie Vol.3 : Le meilleur film du MCU aufpuis Avengers Endgame ?
Alors qu’ils étaient au départ inconnus du grand public, les Gardiens de la Galaxie se sont rapidly imposés comme des personnages iconiques parmi les plus appréciés du MCU grace aux films de James Gunn. Après un premier volet en 2014 et un second 2017, les plus grands losers magnifiques de l’univers Marvel reviennent pour une troisième et dernière aventure. On a pu voir Les Gardiens de la Galaxie Vol. 3 en avant-première et voilà ce qu’on en a pensé.
sommaire
- Rocket Racoon au center l’intrigue
- A soignee realization
- Un groupe toujours also attachant
Presque dix ans après avoir été révélés aux yeux du grand public, les aventures des gardiens de la galaxie touchent à leur fin avec ce troisième et dernier volet. L’occasion pour James Gunn, réalisateur des 3 épisodes, de dire au revoir à ses personnages qu’il a fait connaître à tous, au point de devenir des figures centrales du MCU, voire meme de la pop-culture en général. All que l’univers Marvel traverse a mauvaise period avec a Phase IV jugée decevante, ce Gardiens de la Galaxie Vol. 3 est l’un des long-métrages les plus attendus de la Phase V pour relancer l’intérêt l’audience qui commenced à se lasser. Paris Reussi?
Rocket Racoon au center l’intrigue
Comme on pouvait en deduire des trailers et des interviews de James Gunn, Rocket Racoon est l’élément central de ce troisième épisode. On en apprend enfin plus sur son passé, avec de nombreux flashbacks qui en profit pour denoncer la maltraitance animale à travers les expérimentations du Maître de l’évolution, antagoniste principal de cette aventure. De quoi découvrir une autre facette plus tendre de notre raton laveur préférée avec an origine story tragique qui donne un ton globalement plus sombre et mature à cette troisième aventure.
Toute cette partie de l’intrigue tourne autour du Maître de l’évolution, un vilain dont le but est de créer une utopia et la race parfaite, ce qui explique ses horribles expériences. Par son aspect megalomane et ses pouvoirs de télékinésie, cet antagoniste ressemble beaucoup à celui du precédent film Marvel, à savoir Kang in Ant-Man et la Guêpe: Quantumania. Mais à côté de ça, Chukwudi Iwuji, que l’on avait pu voir dans John Wick 2 notamment, offer a bonne prestation qui permet de bien saisir toute la folie du personnage.
A soignee realization
D’un point de vue cinématographique, on note que James Gunn propose des scenes d’action toujours aussi réussies, grace à des movements qui rendent les combats lisibles et permettent de ressentir l’impact des coups. On pense particulièrement à un plan-séquence en fin de film avec all the casting qui est impressive. De manière general, on a l’impression que l’action est globalement plus violente et crue que ce qu’on a l’habitude de voir chez Marvel. Même d’un point de vue visual, on trouve des choses interestings.
On retrospect An aspect of science fiction toujours plus pronouncé, avec cette fois an influence retro. Tout au long de l’aventure, on discovering the environment with a aesthetic that touches the years 50 and 60 and offers a originality bienvenue. Et tant qu’on en est à parler de réalisation, on retrouve toujours l’utilisation de musiques old-school pour rythmer l’aventure et certaines scènes. Et comme d’habitude, la bande-son séléctionnée est toujours d’une grande qualité.
Un groupe toujours also attachant
Comme on l’a souligné plus tot, l’accent est mis sur les personnages qui constituent une fois de plus le point fort de l’aventure. Mais rassurez-vous, Rocket ne vole pas la vedette au reste du groupe et chaque membre est mis en avant à sa façon, comme sait si bien le faire James Gunn. Result, me les petits nouveaux comme Nebula ou Mantis qui ont rejoint l’équipe après le précédent épisode ont droit à leurs moments, also bien à travers des moments plus émotionnels que des scenes d’action. C’est finalement ceux qui ont été le plus mis en avant lors des films d’avant qui se retrouvent ici un peu plus en retrait, sans être pour autant effacés. Un subtil équilibre plutôt sympathique donc.
mishap, on voit déjà venir les avis très critiques à propos du traitement d’Adam Warlock dans le film. Teasé à la fin du second volet, ce dernier est a figure cosmique puissante dans les comics qui joue meme un rôle de premier ordre dans la Saga du Gant de l’Infini. Mais dans les Gardiens de la Galaxie Vol. 3, le personnage voit sa puissance être contrebalancée par son jeune age, ce qui en fait souvent un resort comique qui risque de ne pas plaire à tout le monde. dailleurs, l’humour occupies toujours une place importantecomme dans all project du MCU, mais particulièrement dans les Gardiens de la Galaxie, et ce troisième épisode ne déroge pas à la règle malgré le fait qu’il soit le plus mature du lot.
À la fin du visionnage de Vol. 3, on a le sentiment d’avoir vu une bonne histoire des Gardiens de la Galaxie, sans être la conclusion tragique que ceux que ce qu’on pouvait attendre des trailers. Et finalement, tant mieux. Intime, drôle tout en étant virevoltante, cette aventure qui s’approche plus du premier volet reprend tout ce qui a fait le charme de la saga. Il s’en dégage une bonne humeur générale, meme ci cet épisode se veut plus sombre que les autres en explorant le passé de Rocket. On en retiendra un heureux adieu aux gardiens de la galaxie qui auront ouvert la voie aux histoires cosmiques au MCU et à un ton franchement plus drôle.
