L’organme qui réunit les Cnils européennes announce avoir créé un groupe de travail. Son objectif, difficult, sera de faire émerger une position commune sur ChatGPT, l’agent conversationnel developed by OpenAI.

A pas de plus vers une réglementation de ChatGPT dans l’UE : le Conseil européen de la protection des données (CEPD), qui réunit les autorités nationales de protection de la vie privée européennes, la Cnil et ses homologues, an annoncé jeudi 13 avril in a communiqué avoir créé une « task force » specific to ChatGPT, c’est-à-dire un groupe de travail dédie à la question de l’intelligence artificielle générative. Le chat conversationnel de plus popular du moment aux 100 millions d’utilisateurs mensuels permet de générer du texte et de répondre à un large panel de questions. Il suscite depuis sa sortie moultes inquiétudes, notamment parce qu’il pose des questions en terms de sécurité, de vie privée et aussi d’emploi.

An initiative pour éviter la cacophonie au be de l’UE ?

Cette decide decoule de plusieurs prizes de position et decisions de certaines autorités locales. Comme OpenAI, à l’origine de ChatGPT, est une entreprise américaine qui n’a siège social en Europe, chaque autorité locale peut en théorie décider de sa suspension, ou mettre en place des limits d’utilisation. L’Italie a par example interdit le chat conversationnel d’OpenAI fin mars, avant de publier une to-do-liste à laquelle la société américaine doit répondre sous un mois, at-elle expliqué au début de la semaine. L’Espagne a also annoucé avoir ouvert une enquête préliminaire sur les violations potentiales de données commissions par ChatGPT, mais sans effet suspensif. Ce qui signifie que le char conversationnel serait toujours accessible dans le pays. In France, la Cnil a été saisie de plusieurs plaintes, dont celle du député Eric Bothorel. Ce qui signifie qu’en théorie, on pourrait avoir des pays qui interdisent l’agent conversationnel, pendant que d’autres l’autorisent.

Et c’est justement pour éviter la cacophonie generale que le CEPD entre en action. « Les membres du CEPD ont discussed de la récente action entreprise par l’autorité italienne de protection des données à l’encontre d’OpenAI concernant le service Chat GPT », commence par expliquer l’organisme, avant d’ajouter que la mise en place « d’un groupe de travail spécialisé (permettra de) favoriser la coopération et d’échanger des informations sur les possible mesures d’execution prizes by the authorités charged de la protection des données ». En filigree, on comprend que les different autorités vont devoir se mettre d’accord et adopter a position commune sur ChatGPT et ses concurrents.

Le défi de trouver une position commune between les 27 Cnils

Plutôt que d’interdire cette technologie ou mettre en place des garde-fous, the task force du CEPD agirait parallel aux enquêtes menées par les autorités locales au sein de l’UE. Elle pourrait mettre en place des règles claires sur la façon not the RGPD, le règlement européen relative to the protection of données personnelles, s’applique à ce type de technology. Selon a source de Reuters, les Cnils n’iraient pas aussi loin, elles n’iraient pas jusqu’à établir des règles qui affecteront OpenAI, mais chercheraient plutôt à creater des politiques communes transparentes. Difficile de voir toutefois comment ces futures recommendations ne pourraient pas affecter ChatGPT.

À lire also : Blockage de ChatGPT in Italy : a premier pas vers an interdiction in toute l’Europe ?

L’UE travaille sur un règlement sur l’IA qui devrait être adopted par le Parlement européen fin avril, selon nos confrères d’Euractiv. Mais en attendant sa mise en oeuvre qui pourrait prendre des mois, les citoyens européens doivent être protégés. Et c’est justement l’objectif du CEPD, qui devra relever l’immense défi de faire émerger un consensus au be des 27 Cnils européennes.

sources :

Communiqué of the CEPD

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