The bikes cargo robust, bien équipés et abordables : c’est le pari de Gaya, mark française qui ambitionne de s’installer durablement dans le paysage.

The brand Gaya is special in the utilitarian bikes, with two models in the catalogue: the Cargo is about 20 cm and 5 kg in Compact. D’ailleurs en depit du nom Cargo, Gaya ne propose pas de modele avec un bac de chargement à l’avant. Le Compact et le Cargo sont des longtails, soit des vélos dotés d’une section arrière plus longue pouvant recevoir passager(s) ou charges encombrants.

Pour ce test, Gaya nous a fourni le Compact, son vélo le plus petit si tant est qu’on puisse utiliser ce terme pour un vélo long de 1.75 m et pesant 23 kg sans battery.

Le Gaya Compact : a retro design between tradition and modernity

Le Compact est un bike de ville au look rétro, campé sur des roues de 20 pouces, chaussées de pneus ballon blancs à flancs réfléchissants. Vélo de ville oblige, le cadre propose un enjambement bas, permettant d’en monter et descendre facilement. Le look est retro mais sans chichis. Now, the assemblage of the tubes you callre confère meme un petit côté Mad Max à l’ensemble (surtout dans sa déclinaison ardoise). Le vélo est livré avec un cintre courbé à la hollandaise avec une potence réglable en hauteur et en incline. Le guidon est posé sur une double fourche non télescopique qui intègre un porte-bagage en L. à l’arrière, on trouve le porte-bagage étudié pour recevoir different accessories sélectionnables via le configurator du site de Gaya.

Le Gaya Compact // Source : Thomas Ancelle pour Numerama

Au premier regard, avec sa silhouette ramassée, mais costaude, sa double fourche et ses (relativement) petites roues équipées de gros pneus, j’ai trouvé que le Compact avait un petit côté Chappy, ce cyclo 50 cm3 qui a fait les beaux jours de Yamaha à la fin du siècle dernier.

Et cette parenté n’est pas totalement absurde parce que le Compact, tout comme le Cargo, partage quelques attributs avec les deux-roues motorisés que nous sommes habitues à croiser en ville.

Un équipement de 2RM (deux roues motorisé)

Parce qu’en plus de leur double fourche, ce qui distinguishing les vélos Gaya de la competition, c’est le gros phare type scooter accompagné de ses clignotants LED situé sous le porte-bagage avant. Ajoutez à cela en dotation standard les gardes-boue metal, le feu de stop à l’arrière et la possibilité d’ajouter le rétroviseur évoqué plus haut ou carrément un top case de 25L (+60 €), et on comprend l’intention Initiale de Gaya : proposer des vélos qui empruntent les elements de visibilité du scooter pour rassurer et inciter une clientèle urbaine pas forced au fait de la vie de cycliste urbain à franchir le pas.

Gaya Compact // Source : Thomas Ancelle pour Numerama
Le petit accélérateur du Gaya Compact // Source : Thomas Ancelle pour Numerama

Aux équipements inclus déjà cités, ajoutons le couvre-chaîne et deux sonnettes, une mécanique classique située sur la poignée gauche et une électrique (un klaxon, en fait) située sur le bloc de commandes également côté gauche, juste en dessous de la commande des clignotant. Le Compact dispose également d’un antivol de cadre dans lequel il est possible d’enficher une chaîne (+60 €).

Côté groupe électrique, les deux models Compact and Cargo sont équipés à l’identique. Tous deux sont mus par un moteur de 250 W and 50 Nm de couple dans la roue arrière, accompagné d’une battery de 450 Wh or 600 Wh en option (+150 €). À Noter que pour les deux capacités, Gaya propose également a version “Gouach” made in France and réparable for 150 € (450 Wh) or 300 € (600 Wh) supplements. Ce groupe est complété par un capteur de pedalage et de couple pour ajuster l’assistance au plus près des besoins réels du cycliste et d’une assistance au démarrage située sur la poignée droite permettant de lancer le vélo depuis un arrêt complet et faisant également office de boost (à la VanMoof), lorsqu’on l’active alors que l’on est en train de pedaler.

Gaya Compact // Source : Thomas Ancelle pour Numerama
Gaya Compact // Source : Thomas Ancelle pour Numerama

Surla route with the Gaya Compact

On the usage, the Compact se comporte comme on peut s’y attendre pour un bike de 23 kg équipé d’un moteur à l’arrière. Le poids est assez bien distribué, les accélérations sont franches et assez immédiates, l’effet lag entre le moment où l’on appuie sur la pedale et la mise en route du moteur restant plutôt discret.

Une fois launched, le vélo a un comportement sécurisant et plaisant, les pneus balloon généreux filtrent bien les aspérités du sol, offer a level de comfort assez surprenant pour un vélo dénué de toute pièce suspendue. The vitesse max de 25 km/h est atteinte assez rapidement et le moteur reste en embuscade pour assister en cas d’amollissement de la cadence. Comme c’est souvent le cas avec les VAE à moteur dans la roue arrière, une fois stabilized à 25 km/h, on a little l’impression de pedaler dans le vide. La faute au type d’assistance, donc, mais aussi et surtout à l’unique vitesse available sur le Compact (le Cargo, lui, propose a transmission 7 vitesses).

Le gros phare du Gaya Compact // Source : Thomas Ancelle pour Numerama
Le gros phare du Gaya Compact // Source : Thomas Ancelle pour Numerama

Le choice de monter des roues de 20″ sur les deux models est discutable et sans aucun doute uniquement guidé par le design. Un diamètre plus grand thunderait un little plus de control dans les situations imprévues (franchissement de pavement haut, etc). En l’état, prenez garde aux surfaces glissantes sous la pluie, la roue avant pouvant se dérober assez rapidement, le poids du vélo vous entraine alors dans une chute difficilement rattrapable (c’est du vécu).

Les Freins à disque font bien leur travail de manière efficace, on aurait préféré un système de Freinage hydraulique mais cela aurait sans doute eu un impact sur le prix total. De nuit, le phare avant éclaire un large cône devant le guidon et le feu arrière équipé d’une fonction de feu de stop permet de rester bien visible des autres cyclistes et (surtout) des voitures, ce qui ajoute encore au côté sécurisant de l ‘ensemble. Au final, on est en presence d’un vrai vélo de ville, acceptable to use au quotidien, comfortable and secure qui privileged clairement la conduite tranquille à une conduite dynamique.

A point on the autonomy

Comme toujours, the autonomy depends on the battery choice, you poids you cycliste et des conditions de roulage. Gaya annonce 70 km for the battery de 450 Wh and 100 km for the celle de 600 Wh. Ces chiffres sont assurance à prendre en compte en mode Eco (le 1er sur les 3 modes d’assistance available).

Le siege arrière du Gaya Compact et la batterie // Source : Thomas Ancelle pour Numerama
Le siege arrière du Gaya Compact et la batterie // Source : Thomas Ancelle pour Numerama

De mon côté avec un vélo équipé de la 600 Wh battery, en roulant principalement en mode Tour (intermediate) avec quelques passages en Sport (mode 3) pour les relances dans les côtes impitoyables de l’Est parisien, j’utilise 20 % de the battery for 11 km. Un rapide calcul me permet donc de dire qu’une batterie pleine permettrait de parcourir un peu moins de 60 km soit all de même 40 de moins que l’estimation constructeur. And with a high weight and a bike weighing 23 kg, it’s not possible to go longer than that in a strict muscular mode.

J’ai eu également l’occasion de faire un trajet de 35 km avec une enfant de 40 kg installed à l’arrière: il restait moins de 10% de battery à l’arrivée. The possibilité d’embarquer un passager est donc un plus appréciable, mais avec un impact évident sur l’autonomie, à réserver exclusivement aux petits trajets.

Comme nombre de constructeurs, Gaya propose an application permettant d’enregistrer ses trajets avec les données habituelles (vitesse moyenne, max, batterie consommée et CO2 économisé) et d’avoir des rappels pour la maintenance. Mais surtout, l’app propose de geolocaliser son vélo et de le verrouiller à distance, permettant d’activer l’alarme et de blocker le moteur électrique. Ce mode est ideal pour les arrêts courts pour lesquels on a pas le temps ou l’envie de sortir l’antivol et de chercher un point fixe pour y attacher le vélo. À noter tout de même que ces fonctionnalités sont gratuites pendant 2 ans puis passent à 60 €/ an à partir de la 3e année. Malgré ces fonctionnalités, l’app n’est pas un passage obligé pour utiliser le vélo. Il est all à fait possible de l’utiliser sans jamais utiliser l’app, même si une fois arrivé, le vélo transmettra le rapport du trajet à votre mobile.

Mais s’il ya un point qui met tout le monde d’accord, c’est le prix de vente de ce Compact.

Le gros feu arrière du Gaya Compact // Source : Thomas Ancelle pour Numerama
Le gros feu arrière du Gaya Compact // Source : Thomas Ancelle pour Numerama

Parlons peu, parlons prix, l’argument massue de Gaya

Affiché à 1 800 € avec sa dotation standard, on est en présence d’un vélo bien équipé vendu à un prix très attractif, 200 € moins cher qu’un Petit Porteur moins bien bien équipé, par example. N

Other models are lighter with the following options: the adult adult kit (+150 €) which includes a removable banquette for the long portage bagage, the protection of the roues against the éclaboussures and the cale-pieds repliables, and the rétroviseur (+40 € ), a panier avant (+40 €) and a chaîne antivol (+60 €) auquel nous ajoutons la batterie 600 Wh (+150 €) et le chargeur rapide (+50 €) pour a prix total de 2 290 € soit près de 500 € supplements. Mais même avec ces options, on reste moins cher qu’un Tern Quick Haul offer à little before les memes prestations pour 1 200 € de plus.

Alors ok, pour ce tarif on fait l’impass sur des Freins hydrauliques ou une management du câblage mieux intégrée, mais l’essentiel est bien available : un vélo pratique, comfortable et bien équipé pour aborder sereinement la grande ville.

Le verdict

Le Gaya Compact est une très bonne surprise, un vélo de ville avec une vraie personnalité, robust et sécurisant avec ses éléments empruntés au monde des deux roues motorisés. Bien équipé en série et offer un choix assez vaste d’options available, le Compact reste un vélo dont la partie cycle reste réparable chez n’importe quel vélociste, ce qui rassure pour les années à venir. Affiché à 1800€, il a fallu faire des compromises, les finitions et quelques choix d’équipements (suspension, vitesses…) and pâtissent mais la cible de Gaya, à savoir les people new arrivals dans le monde du vélo urbain électrique, y trouveront largement leur compte.


Subscription vous à Numerama on Google News for a manquer aucune info !

California18

Welcome to California18, your number one source for Breaking News from the World. We’re dedicated to giving you the very best of News.

Leave a Reply